Une conférence de Nolwenn Tréhondart (U. Lorraine) et Anne Cordier (U. Lorraine), dans le cadre du cycle « Que veut (et que peut) encore l’éducation aux médias? »
22 mars 2022
Une conférence de Nolwenn Tréhondart (U. Lorraine) et Anne Cordier (U. Lorraine), dans le cadre du cycle « Que veut (et que peut) encore l’éducation aux médias? »
22 mars 2022
Les 29-30-31 mai 2024 s’est déroulée à Paris la 17e conférence de l’International Association for Research on Textbook and Educational Media (IARTEM). Cette édition était consacrée, plus particulièrement, aux changements climatiques et sociaux tels que traités au sein des manuels scolaires et des ressources éducatives. Les différentes contributions ont mis en évidence les représentations et présupposés associés à la gestion de la crise environnementale dans les manuels (contextualisation, agent[ivité]s, mise en relation avec d’autres phénomènes historiques/géographiques, etc.), les langages permettant de la prendre en charge d’un point de vue didactique (discours multimodaux, infographies dynamiques, etc.) ainsi que les connexions avec les objectifs d’apprentissages définis par les curricula.
If the well-studied phenomenon of conspiracy theories still catches our attention, it is among other reasons because it crystallizes many aspects of our society. For example, our relationship with the media, the notion of transparency, the phenomenon of fake news, but also our ability to live together and make society. In this post, we will focus on the relationship that conspiracy speakers build within their discourses with the notion of “truth” as a value. Our hypothesis is that conspiracy speakers are too confident about this notion; instead of being critical and doubtful about events – as they seem to appear at first – they are instead too sure of being right. In this perspective we will argue that within conspiracy discourses, truth as a value is paradoxically based mostly on the character of the speaker and not on the reasoning they expose.