Une conférence de Nolwenn Tréhondart (U. Lorraine) et Anne Cordier (U. Lorraine), dans le cadre du cycle « Que veut (et que peut) encore l’éducation aux médias? »
22 mars 2022
Une conférence de Nolwenn Tréhondart (U. Lorraine) et Anne Cordier (U. Lorraine), dans le cadre du cycle « Que veut (et que peut) encore l’éducation aux médias? »
22 mars 2022
À partir de quels savoirs, plus ou moins intériorisés et conscientisés, conférons-nous du sens aux productions médiatiques ? Quelles en sont les bases sociales, culturelles, expérientielles ? Prenant résolument le contrepied de toute entreprise de décodage des textes, de fact-checking ou de critique des sources, les autrices de l’ouvrage Sur quoi se fondent nos interprétations ? — Alexandra Saemmer, Nolwenn Tréhondart et Lucile Coquelin — entendent poser les fondations d’une démarche en éducation aux médias qui mettrait l’accent sur les processus interprétatifs à l’œuvre dans notre compréhension des messages médiatiques.
Soon after the beginning of the COVID-19 pandemic, the novel coronavirus was described as a “stealth virus” because those who carry it are highly contagious before they show any signs of infection. This is indeed a major public health issue: If people are contagious well before they show any symptoms, strategies of contact tracing and containment are bound to play catch-up. However, the label of the “stealth virus” was also instrumentalized, especially in political rhetoric, to insinuate a lack of transparency of the virus itself. This post briefly explores how the label of the “stealth virus” was rhetorically weaponized for political purposes.